On doit travailler les température fraîches
La course de Paris a été plutôt décevante, même si je termine heureusement sur le podium. On a eu énormément de difficultés à monter les pneus en température. En fait, il n’avait jamais fait aussi frais qu’à Paris depuis les débuts du championnat de Formule E.
Alors avec le système de qualifications sur un seul tour, ça nous a rendu les choses très difficiles. Je n’étais que huitième sur la grille, et j’ai dû remonter les places. Une fois que les pneus étaient chauds, ça allait bien, je pense même que nous étions les plus rapides en piste.
Mais à nouveau, après le changement de voiture, j’ai souffert avant que les pneus n’atteignent la bonne température. Nous allons devoir travailler sur ce problème au cas où nous aurions à nouveau une course par temps frais…